L’état de fragilité de notre pays a été notre unique motivation : une société gangrénée par le communautarisme et le tribalisme, parfois même la haine, une cohésion nationale inexistante, une confiscation par quelques-uns des richesses de notre pays, une pauvreté galopante et une corruption endémique. La Guinée et les guinéens étaient touchés dans leur âme. La fierté d’être guinéen profondément ébranlée.